Troubles sexuels, causes et traitements

Anorgasmie, vaginisme, éjaculation précoce, perte de désir, nombre de personnes sont confrontées, à un moment donné de leur vie, à un trouble de leur sexualité.
Bien que certains problèmes se résolvent spontanément, d'autres sont plus difficiles à appréhender et donc à traiter. De nos jours, pour encore beaucoup d'entre nous, la sexualité est un sujet sensible, voire tabou. Parler de ses problèmes sexuels avec un(e) inconnu(e) ne va pas de soi et franchir la porte du cabinet d'un psychiatre, psychologue ou sexologue demande un certain courage, à commencer par celui de reconnaître l'existence d'un problème et la nécessité d'y remédier.
Qu'est-ce qu'une dysfonction sexuelle ?
Il s'agit d'un trouble qui empêche l'individu ou le couple d'avoir des rapports sexuels normaux. Les dysfonctions sexuelles sont généralement classifiées en quatre catégories :
- les troubles de l'excitation sexuelle ;
- les troubles du désir sexuel ;
- les troubles douloureux de la sexualité ;
- et les troubles de l'orgasme.
Les troubles sexuels concernent les hommes comme les femmes qui tous deux partagent certains d'entre eux comme les douleurs pendant les rapports. Pour les hommes elles sont généralement dues à un problème physique (malformation, maladie), pour les femmes, la douleur peut être d'ordre physique mais également psychologique.
Chez les hommes, sont observés les troubles de l'érection caractérisés par la difficulté ou l'incapacité à obtenir et maintenir une érection, l'impossibilité à contrôler le moment de l'éjaculation (éjaculation précoce) ou à éjaculer (anéjaculation). Les femmes quant à elles souffrent le plus souvent d'anorgasmie (absence d'orgasme), de vaginisme (les muscles vaginaux se contractent et interdisent toute pénétration) et de sècheresse vaginale (absence d'une production de cyprine suffisante avant et pendant la pénétration). Un certain nombre de femmes souffrent également de dyspareunie, caractérisée par l'apparition de douleurs pendant un rapport sexuel, pouvant être décrites comme des crampes ou des brûlures, persistant parfois après le coït. Mais la douleur peut également apparaître lors d'une stimulation non-pénétrante. Localisée à l'entrée du vagin ou plus en profondeur, elle peut être extrêmement pénible. La douleur apparaît généralement après la ménopause lorsque le niveau d'œstrogène diminue. Si elle n'est pas traitée, la dyspareunie peut entraîner un cycle négatif d'évitement de l'activité sexuelle, une anorgasmie ou un trouble du désir. L'endométriose, pouvant toucher jusqu'à une femme sur dix entre 20 et 40 ans selon Endofrance, se caractérise également par de fortes douleurs, notamment lors de rapports sexuels.
En France, on estime que 30% des hommes de plus de 40 ans et près de 55% des femmes sont affectés par un trouble sexuel. Les difficultés peuvent survenir tôt dans la vie d'un individu, se développer soudainement après une vie sexuelle auparavant satisfaisante ou apparaître progressivement.
Dysfonctionnements sexuels : les causes
Les causes des troubles de la sexualité sont multiples et peuvent survenir pour différentes raisons, organiques, médicales et/ou psychologiques. Parmi les causes organiques, problèmes cardiaques, diabète, troubles neurologiques, déséquilibres hormonaux (andropause, ménopause), surpoids, sédentarité, alcool et drogue sont à l'origine de la plupart des dysfonctions sexuelles chez les hommes comme chez les femmes. Certaines malformations ou maladies peuvent aussi rendre les rapports sexuels douloureux chez les deux sexes. De même, les effets secondaires de certains médicaments peuvent induire des troubles de la sexualité.
Chez l'homme, les médicaments hypotenseurs (Bêta bloquants), tranquillisants, antidépresseurs, diurétiques, hypocholestérolémiants et antiandrogéniques peuvent avoir une action inhibitrice sur l'érection et donc être responsables d'un problème d'impuissance. L'effet négatif sur l'érection des traitements du cancer de la prostate, qui sont des anti-androgènes, sont également bien connus des médecins.
Chez la femme, tout traitement à base d'hormones est susceptible d'impacter la libido. En effet, physiologiquement parlant, la fonction sexuelle masculine comme féminine est déterminée par l'interaction entre plusieurs hormones : oestrogènes, progestérone, testostérone... La pilule contraceptive par exemple, inhibe le pic de désir sexuel observé chez la femme quelques jours avant l'ovulation, lequel est destiné à optimiser les chances de grossesse. Mais toutes les pilules contraceptives ne sont pas dosées de la même façon en progestérone et oestrogène, lesquels ont un impact sur l'activité sexuelle, si bien qu'un changement de pilule peut tout à fait remédier à une baisse de libido. Autres médicaments ayant une influence sur la libido féminine, les traitements de la thyroïde comme le Lévothyrox.
Enfin, chez les deux sexes, les troubles de la sexualité ont le plus souvent une cause psychologique : dépression, dépréciation de soi, choc émotionnel (rupture, décès...), burn out, psychotraumatisme lié à une agression ou un abus sexuel. L'association dépression/traitement est alors souvent la cause des troubles. Certains psychotropes et antidépresseurs tel le Prozac, Deroxat ou Seroplex, peuvent provoquer impuissance ou frigidité. Cependant, il est important de noter que ces dysfonctions sont le plus souvent antérieures à la prise de médicaments, leur cause étant avant tout psychologique. De même, plus rarement utilisés, des neuroleptiques comme, Haldol, Abilify et Largactil sont susceptibles d'entraîner des troubles hormonaux et peuvent être responsables d'une baisse de libido.
Les traitements
Chaque cas clinique est unique, à chaque problème sa solution, selon que l'origine de la dysfonction est d'ordre organique ou psychique, qu'elle touche un homme de plus de 40 ans ou un jeune, une femme ou une jeune fille. Quoi qu'il en soit, les traitements sont soit chimiques, soit psychothérapeutiques, soit les deux à la fois.
Les traitement chimiques
Viagra et consorts
S'agissant des problèmes touchant les hommes, la solution chimique est souvent suffisante à résoudre les troubles de l'érection, notamment lorsqu'ils sont liés à l'âge. Le Viagra, dont le sildénafil est le principe actif, est un médicament de la famille des inhibiteurs de la phosphodiestérase. Il est généralement le traitement prescrit en première intention. Toutefois, il arrive que le médicament ne soit pas efficace, notamment lors des 4 à 8 premières prises. Si le trouble à pour cause un diabète sévère, son efficacité est réduite et seulement comprise entre 60 et 75%. Notons que la prise de sildénafil n'est pas sans danger et contre-indiquée si le patient est atteint de pathologies ou dysfonctionnement hépatiques, cardiaques et circulatoires. Délivré uniquement sur ordonnance, le Viagra est généralement prescrit par le médecin traitant qui sera à même de juger des risques encourus par son patient. Certains effets indésirables peuvent entraîner hypertension artérielle, infarctus pouvant provoquer la mort et hémorragies cérébrales. Le Viagra peut également provoquer priapisme (érection prolongée au-delà de 4h avec impossibilité d'éjaculation), troubles de la vision, des voies respiratoires, bouffées de chaleur, toux, maux de tête et somnolence. Il est par conséquent indispensable de demander l'avis de son médecin avant toute prise de sildénafil. Cela étant, le Viagra et ses génériques n'ont aucun effet sur les troubles du désir, ils sont uniquement destinés à provoquer une érection.
Hormonothérapie
L'un des traitements les plus couramment prescrits dans les cas de dysfonction érectile liée notamment à l'andropause est la thérapie de remplacement de la testostérone sous forme de pilule, d'injection, de gel ou de patch. Néanmoins, l'innocuité à long terme de l'hormonothérapie – qui n'est pas recommandée chez les hommes atteints d'un cancer de la prostate ou d'une maladie cardiovasculaire – n'a pas été établie. Elle est par ailleurs déconseillée aux patients atteints d’obésité, d'asthme ou de diabète.
L'homéopathie
Pour lutter contre les dysfonctionnements sexuels non organiques et notamment la baisse de libido, l'homéopathie peut s'avérer un très bon stimulant sexuel mais pour être efficace, le traitement doit être personnalisé. Quoi qu'il en soit, les troubles sexuels pouvant avoir une cause organique sérieuse requérant parfois une intervention chirurgicale ou un traitement hormonal, l'homéopathie peut s'avérer insuffisante à régler le problème et seul un médecin en jugera la pertinence. La plupart du temps, l'homéopathie sera davantage utilisée comme un soutien ponctuel dans le cas de troubles causés par une baisse de forme ou une période de stress.
L'acupuncture
Issue de la médecine chinoise, l'acupuncture est un système thérapeutique qui consiste à l'insertion de fines aiguilles en divers points du corps, les "points d'acupuncture", en vue de la stimulation de zones précises, chacune agissant sur des flux spécifiques appelés méridiens.
En 1999, une étude intitulée Acupunture for vulvodynia menée par Powell J et Wojnarowska F a révélé que sur 12 femmes souffrant de vestibulodynie (douleur ressentie à l'entrée du vagin lors des rapports), confiées aux soins d'un acupuncteur à raison d'une séance par semaine pendant 5 semaines, 2 patientes se sentaient tellement mieux qu'elles se sont déclarées "guéries" ; 3 ont ressenti une amélioration des symptômes et ont souhaité poursuivre les séances, 4 se sentaient légèrement mieux et jugeaient l'acupuncture plus efficace que tout autre traitement et enfin pour 3 d'entre elles, l'acupuncture n'a eu aucun effet. Une étude similaire menée sur 14 femmes porteuses de ce syndrome a révélé que l'acupuncture améliorait la qualité de vie jusqu'à trois mois après la dernière séance.
L'acupuncture serait également efficace pour traiter les troubles de l'érection ayant une origine psychologique. Là aussi plusieurs expériences ont été réalisées afin d'en mesurer les effets. L'une d'elles2 a montré que 65% des hommes ayant été soignés par l'acupuncture pour un dysfonctionnement érectile d'origine psychologique étaient satisfaits du résultat. Dans une autre3 15 % des hommes testés auraient rapporté une amélioration de leur érection, et pour 31 %, une augmentation de leur activité sexuelle. Aucun changement hormonal n'a été observé, tant sur le plan des hormones sexuelles que sur celui des hormones du stress.
La Sexothérapie
Une sexothérapie est une forme de psychothérapie spécialement dédiée aux problématiques sexuelles d'origine psychologique. Il est possible de faire appel à deux sortes de professionnels, les sexothérapeutes et les sexologues.
Les sexothérapeutes peuvent exercer des professions médicales ou paramédicales (infirmiers, sage-femmes, kinésithérapeutes, psychothérapeutes...). Ils travaillent essentiellement sur les causes psychogènes des troubles et s'ils ne sont pas habilités à prescrire des médicaments sexo-actifs, par l'utilisation de diverses méthodes (relaxation, hypnose...), ils peuvent identifier l'origine d'un problème souvent lié à un vécu traumatique ou des représentations sexuelles négatives.
En France, le titre de sexologue est uniquement décerné à un médecin de formation (généraliste, gynécologue, psychiatre...) ayant suivi un cursus supplémentaire de trois ans de spécialisation dans le domaine de la sexualité. Ce titre est reconnu par l'Ordre des médecin, mais n'est pas un diplôme d'état, comme c'est le cas en Belgique, au Canada ou en Suisse. Seul un médecin sexologue est habilité à prescrire des médicaments ou si nécessaire, à procéder à des interventions chirurgicales. Comme le sexothérapeute, pour établir un diagnostic, le médecin sexologue prend en compte non seulement les éventuelles causes organiques, mais également l'aspect psychologique de l'origine des troubles. Il serait donc inexacte de prétendre, comme le font certains sexothérapeutes sur internet, qu'un sexologue ne s'intéresse qu'aux dysfonctions d'ordre physique et un sexothérapeute, aux origines psychologiques. S'il s'agit de deux métiers bien différents de par les prérogatives de l'un et de l'autre, il n'en demeure pas moins vrai que l'un comme l'autre s'intéresse à la personne dans son ensemble.
La sexothérapie par l'hypnose
Certains des troubles sexuels les plus communs pour les hommes sont l'anxiété de performance, le dysfonctionnement sexuel et l'éjaculation précoce. Pour les femmes, le trouble le plus fréquemment rencontré est le vaginisme. Ces troubles peuvent également inclure la perte de désir et la perte de l'excitation.
Nous savons que pour identifier la cause d'un trouble sexuel, les facteurs physiques et psychologiques doivent être pris en compte. La première étape consiste donc à consulter son médecin généraliste afin qu'il puisse éliminer tous les facteurs physiques pouvant contribuer au problème. Une fois que toutes les causes physiques ont été exclues, l'hypnothérapie peut être envisagée. Dans de nombreux cas, les dysfonctionnements sexuels sont le résultat d'un problème psychologique sous-jacent, souvent déclenché par le stress, l'anxiété ou la peur.
L'hypnothérapie pour résoudre les dysfonctions sexuelles
Chez la femme comme chez l'homme, le premier organe sexuel est le cerveau. Il est le siège de toutes les interactions physiologiques, corporelles, émotionnelles et fantasmatiques. Un rapport sexuel dépend entièrement du fonctionnement du cerveau et de son organisation en matière de représentation sexuelle. Chacun d'entre nous est soumis plus ou moins consciemment à l'influence de croyances, préjugés, de traumatismes enfouis ou de peurs. Tous ces éléments sont susceptibles d'impacter la qualité de notre vie sexuelle en perturbant le bon fonctionnement de nos organes génitaux.
Lorsque le trouble s’installe, l'appréhension conditionne le déroulement du rapport sexuel avant même qu'il n'ait lieu, ce qui a pour effet de nourrir la problématique qui se développe insidieusement au fil du temps. Un trouble sexuel non résolu peut avoir des conséquences fâcheuses sur le couple pouvant conduire à sa séparation. C'est pourquoi l'approche novatrice de l'hypnose dans le cadre d'une sexothérapie individuelle ou de couple peut être vue comme une réelle solution pouvant s'avérer efficace pour lutter contre des troubles dont la cause organique n'a pas été déterminée et/ou en complément de traitements médicamenteux.
Séance d'hypnothérapie : à quoi s'attendre ?
L'hypnothérapie utilisée pour résoudre les troubles sexuels vise à accéder à l'inconscient de la personne pour modifier les schémas de pensée et les comportements à l'origine du trouble. Afin de favoriser un changement positif, la relaxation et la confiance en soi, l'hypnothérapie utilise le pouvoir de la suggestion. Le praticien adaptera les suggestions afin d'aider la personne à déterminer et comprendre ce qui déclenche le problème. Les protocoles sophistiqués utilisés permettront de renouer avec la sexualité ou de s'éveiller à une sexualité épanouissante.
L'hypnothérapie peut également aider à supprimer le phénomène d'anxiété de performance et toute pression mentale qui conditionne les rapports sexuels. Les techniques employées visent à la modification des schémas de pensée négatifs, permettant une meilleure relation au corps et un regain de confiance.
Les résultats d'une sexothérapie par l'hypnose dépendent de plusieurs facteurs : les compétences de l'hypnothérapeute et l'individu lui-même, son chemin de vie, ses expériences. S'il a vécu certains événements traumatiques ou subi une expérience sexuelle négative, l'hypnothérapie peut le guider dans son cheminement. Il existe également des techniques d'auto-hypnose destinées à prolonger les effets des séances.
L'hypnopraticien : comment le choisir ?
Il est important de préciser que beaucoup d'hypnothérapeutes, bien que spécialisés dans les troubles sexuels, ne sont ni médecins, ni sexothérapeutes, ni sexologues et n’ont pas le droit d'utiliser ces termes médicaux s'ils ne possèdent pas les diplômes validant ces compétences. Il s'agira donc pour le patient d'être particulièrement vigilant car certains hypnotiseurs peu scrupuleux profitent de l'amalgame pouvant être fait entre hypnose et hypnothérapie, sexologie et sexothérapie etc. Lorsque l'on ouvre l'accès de son inconscient à un tiers, mieux vaut faire quelques vérifications d'usage. Idéalement, le médecin traitant sera le premier interlocuteur apte à orienter son patient vers le spécialiste le mieux adapté à ses besoins car l'hypnose ne saurait se substituer à aucun avis ou traitement médical.
Les critères à prendre en compte
Avant toute chose, l'hypnopraticien doit être un professionnel de la santé (médecin, psychologue, psychiatre, infirmier etc.) et son métier doit être en adéquation avec la demande spécifique du patient, d'où l'intérêt de consulter son médecin avant toute prise de rendez-vous avec un hypnotiseur. En cas de doute, il est fortement conseillé de consulter l'ordre de la profession du thérapeute qui doit être inscrit sur une liste départementale (numéro ADELI auprès des ARS : Agences Régionales de Santé).
Attention au charlatanisme !
Bien sûr, la qualité du contact établi avec le praticien doit être retenue comme critère déterminant car il est essentiel de se sentir à l'aise et en confiance avec la personne à laquelle on confie son équilibre psychique. Mais dans le domaine de l'hypnose, il existe aussi des dérives sectaires1 parfois difficiles à détecter attendu la personnalité charismatique de certains "gourous", et ce d'autant plus que l'on est en situation de fragilité émotionnelle. En tout état de cause, le patient doit être alerté par certains comportements douteux, notamment l'interdiction par l'hypnotiseur d'un traitement allopathique avant ou pendant le cycle des séances d'hypnose, un discours trop ésotérique convoquant les concepts de "puissances supérieures" ou d'énergies cosmiques ou la promesse de résultats miraculeux et rapides.
Règlementation
En France, la pratique de l'hypnose n'est soumise à aucune règlementation. Il n’existe donc pas encore de titre "officiel" ou d’organisme de contrôle des centres de formation. À elle seule, une formation à l’hypnose ne constitue donc pas une base suffisante pour intervenir sur des problèmes psychiques et de santé. C'est pourquoi il est fortement conseillé de toujours se référer au métier d'origine de l'hypnopraticien. Certains troubles sexuels liés à la dépression entrent dans le champ d'action de la psychothérapie et relèvent de la compétence d'un psychologue (cursus universitaire) ou d'un psychiatre (médecin spécialisé en psychiatrie) ou éventuellement d'un psychothérapeute, ce titre étant désormais règlementé par l'ARS (Agence Régionale de Santé) qui impose un certain nombre d’heures de formation théorique et pratique en psychopathologie.
Les différentes formes d'hypnose
Mais il est parfois difficile de s'y retrouver entre toutes les formes d'hypnose qui existent et par conséquent de déterminer laquelle sera la plus à même de répondre à nos attentes. Hypnoanalyse ou hypnose analytique, hypnose ericksonienne, hypnose cognitive et comportementale, hypnothérapie cognitive, hypnose directive ou hypnose autoritaire, hypno onirisme, comment choisir ? En réalité, la forme d'hypnose utilisée n'est pas aussi importante que les compétences et la spécialisation médicale du thérapeute. Et enfin, nous ne devons pas oublier que les résultats d'une sexothérapie par l'hypnose dépendent pour une grande partie, de la qualité du lien établi entre le patient et le thérapeute.
Il existe également d'autres techniques destinées à améliorer sa vie sexuelle en réduisant stress et anxiété tel le yoga ou la méditation, mais elles sont surtout considérées comme des "thérapies de confort", qui toutefois peuvent s'avérer efficaces dans la gestion de la douleur ou sur des troubles de l'érection d'origine psychique.
1 - En cas de présomption de tentative d'escroquerie ou de manipulation malveillante, n'hésitez pas à consulter le site http://www.derives-sectes.gouv.fr/
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