Eric Royer : notre conseiller écosexologue à votre écoute

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Eric Royer, écosexologue : expérience, écoute et savoir-dire

Formé à la sexologie humaniste par le médecin-sexologue Jacques Waynberg, Eric Royer, fondateur et rédacteur d'Osphères, détenteur du Diplôme d'Études Appliquées en "Sexologie & Santé Publique", pionnier de l'écosexolgie, ouvre un module de conseil en ligne.  À l'aube de ses soixante ans c'est en homme d'expérience qu'il vous accompagnera.

L'écosexologie : mieux se comprendre pour mieux s'aimer

Science de l'humain contextualisé, l'écosexologie privilégie l'analyse globale, holistique, de l'écosystème des individus et des couples en difficulté, afin de leur rendre, par une assistance éclairée, leur liberté d'agir, leur capacité à s'émouvoir, à s'aimer et in fine à relever le défi de l'exploration épanouissante de la relation intime.

Dysharmonie du couple : une question d'écosystème dégradé

Les aléas de la vie quotidienne : routine, difficultés financières, éducation des enfants, maladie, accidents de parcours et bien d'autres choses encore constituent une pluralité de perturbateurs de l'harmonie du couple et de ses relations intimes. Ainsi les mésententes relationnelles sont le plus souvent le symptôme d'une dégradation délétère de l'écosystème personnel d'un ou des deux partenaires, ou encore celle de l'écosystème global dans lequel ils évoluent. 

Douleurs pendant les rapports : sortir de la spirale de la souffrance

Le syndrome qui désigne les douleurs récurrentes survenant avant, pendant et après les rapports intimes se nomme dyspareunie. On estime qu'environ 10 à 20% des femmes en souffrent. La dyspareunie est un phénomène complexe dont l'étiologie (la recherche des causes) balaie un vaste champ d'investigation. En tout état de cause la consultation gynécologique doit prévaloir à la consultation sexologique. Ce n'est qu'en suite, lorsque que le statut gynécologique s'est révélé propice à l'exercice de la sexualité érogène, que seront envisagées les causes psychosexologiques. Quoiqu'il en soit, il n'est pas de situations désespérées et les thérapeutes disposent des outils nécessaires pour casser la spirale de la souffrance.

Vaginisme : s'ouvrir à l'autre

Selon le Collège National des Gynécologues et Obstétriciens Français, environ 1% des femmes en âge de procréer sont victimes de vaginisme. En outre, ce trouble représente environ 10% des consultations sexologiques. Le vaginisme se caractérise par une contraction involontaire des muscles du plancher pelvien interdisant toute pénétration vaginale, y compris lors des examens gynécologiques. La causalité psychogène est la plus fréquente et associée à une anxiété, un refus spontané de l'intromission. On devrait même avancer qu'il est une mesure inconsciente de protection, de sauvegarde de l'intimité profonde. Le vaginisme n'est pas une maladie en soi, c'est un symptôme dont il convient de découvrir le sens caché. Quel que soit ce dernier, la guérison du vaginisme passe toujours par la capacitation psychique de l'ouverture à l'autre. 

Perte de désir : retrouver le chemin de l'émotion érogène

Dans la majorité des cas les troubles de la sexualité érogène sont associés à une perte de désir. Le désir est ce moteur émotionnel indispensable à l'exercice de la sexualité érogène et plus largement à l'expérience de la vie. L'érosion du désir est toujours synonyme d'une dégradation de la capacité à s'émouvoir de l'autre et/ou d'une perte d'appétit pour la vie de couple. C'est généralement par la raréfaction des occasions de vivre des émotions partagées (un bon resto, une toile, un concert, une ballade, etc.) que se perd le chemin de l'émotion érogène.

Anorgasmie féminine : renoncer à l'oubli de soi

Pour nombre de femmes l'expérience orgastique est au mieux rare, au pire inexistence. La privation de ce temps d'intense émotion est perçu à juste titre comme une iniquité. Si l'orgasme féminin est plus exigeant que sa contre partie masculine, il n'est pourtant pas inaccessible. Cela dit, que le manque d'attention, de savoir faire, du partenaire soit un des facteurs de l'insatisfaction féminine, il ne l'est qu'à titre périphérique. Car la centralité de la problématique repose sur une méconnaissance par les femmes elles-mêmes des potentialités érogènes de leurs corps et surtout une réticence à s'affirmer, à s'imposer, en tant que sujet désirant. De fait, l'orgasme se dérobera tant qu'il ne sera pas accepté de renoncer à l'oubli de soi. Toutefois, l'anorgasmie peut être le marqueur d'un antécédent d'agression sexuelle, d'où la nécessité d'explorer avec soin l'écosystème de la plaignante. Dans ce cas la résolution de l'anorgasmie passera par la résolution de l'état émotionnel traumatique.

Dysfonction érectile : la fatalité n'existe pas

Les pannes d'érection ont de multiples causes qui sont très rarement d'ordre médical. L'érection est un processus complexe essentiellement dépendant de la dynamique du désir, de la capacité à percevoir des émotions érogènes. Le processus du désir est par nature capricieux, fragile car facilement perturbé. La majorité des hommes connaîtront au cours de leur vie, de manière passagère, récurrente ou persistante des troubles de l'érection. Vécus comme une dépréciation de la virilité, ces aléas érectiles sont suffisamment humiliants et anxiogènes pour que les concernés se tournent vers des solutions rapides, médicalisées, de type Viagra. Malheureusement, ces solutions n'offrent qu'un répit de courte durée, car  la problématique est exceptionnellement d'ordre organique. 

Éjaculation précoce : dominer ses émotions

C'est une donnée naturelle : comme l'ensemble des mammifères mâles les hommes sont programmés pour éjaculer rapidement. Cela dit, dans le cadre d'une relation intime, il peut être apprécié du ou de la partenaire une certaine maîtrise du réflexe éjaculatoire. Toutefois, l'orgasme se conçoit comme la résolution éclatante d'un état émotionnel qui ne se différencie guère dans ses fondements de l'éclat de rire ou de l'éclat de joie. Contrôler l'éjaculation, c'est donc apprendre à dominer ses émotions. 

Addiction sexuelle : reprendre le contrôle de soi

L'addiction se définit comme la perte de la liberté de s'abstenir de passer à l'acte malgré la conscientisation des conséquences négatives sur la vie sociale, professionnelle et intime. L'addiction sexuelle touche aussi bien les hommes que les femmes. La personne addict est une personne en souffrance qui est devenue esclave de ses élans libidineux. L'addiction sexuelle est un phénomène que l'écosexologie appréhende comme la résolution inadéquate d'états émotionnels traumatiques dont la mise en exergue vise la restauration du contrôle de soi.

Sortir de la pornodépendance : renaître aux émotions érogènes romantiques

De nombreux couples souffrent dans leur intimité d'une contamination pornographique. Perte de désir, anorgasmie, demandes incompatibles avec l'orientation érotique de la partenaire, la pornodépendance est maintenant référencée parmi les principales problématiques sexuelles masculines induisant une dégradation de la vie intime du couple. La pornodépendance est un chemin d'altération du potentiel à s'émouvoir dans un contexte romantique qui peu à peu interdit à l'individu d'éprouver du désir pour la sexualité dépornifiée. Toutefois, des solutions existent pour se départir de la dépendance pornographique et se reconnecter aux émotions érogènes romantiques. 

Se reconstruire après une prostatectomie radicale ou une orchidectomie : pour une nouvelle vie érotique

En France, chaque année plus de 50.000 hommes sont touchés par le cancer de la prostate et 3.000 par celui des testicules. Si aujourd'hui les outils diagnostics et curatifs permettent de limiter le risque de décès prématuré, il n'en demeure pas moins que les suites opératoires sont redoutées par les concernés et assombrissent l'avenir érotique de nombre d'entre eux. Mais si, dans son acception virile, la masculinité est mise à mal, persiste l'espoir d'une vie érotique émotionnellement intense.

Érotisme : s'épanouir dans sa sexualité de couple

En matière d'érotisme, il n'y a pas de modèle. Il revient à chaque couple de déterminer ce qui lui convient le mieux. Toutefois, les partenaires peuvent ne pas être sur la même longueur d'onde fantasmatique. Ainsi, malgré l'amour qu'ils se portent, ils s'enlisent dans l'incompréhension érotique et se lassent d'expériences qui n'apportent que peu ou pas de satisfaction. C'est bien souvent parce que l'on s'interdit d'exprimer clairement ses ressentis, ou qu'on le fait sur le ton du reproche, que les situations se figent dans la stérilité relationnelle. Pourtant il suffit à la parole libérée de trouver sa place dans la communication pour que se découvre le chemin de l'épanouissement érotique.
Certaines pratiques, par leur nature alternative, transgressive, suscitent interrogations, doutes, auxquels il convient de répondre pour s'initier et pratiquer en toute quiétude, en toute sécurité. Pour que l'expérience érotique soit source d'émotions positives et d'épanouissement il est impératif de cerner les tenants et aboutissants de la pratique visée. L'érotisme est un art qui s'acquiert.




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